dimanche 16 janvier 2011

Jour 9 : Vendredi 14 Janvier 2011



Après une bonne soirée passée dans la ville d'Edinburgh, le réveil est plutôt difficile pour tous... Lever à 8H30.
Aujourd'hui pas besoin de préparer des sandwichs, nous allons goûter une spécialité des pays nordiques : le « fish and chips ».

Départ 9H40, pour aller visiter « Edinburgh Castle » (le château d'Édimbourg, pour ce qui ne comprennent pas, nous maintenant on assure, Mme Poitevin passe son temps à nous féliciter...).


Visite libre pour tous, de ce grand château, qui présente l'histoire des joyaux de la couronne écossaise. Il est devenu château royale d'Écosse depuis le Moyen-Age, assiégé à de nombreuses reprises durant les longues guerres avec l'Angleterre.
Depuis 1745, il est devenu l'emblème de l'Écosse face à l'occupant.


Nous avons parcouru les étapes de sa construction au fil des siècles et nous avons essayé de comprendre la culture écossais faite de résistances.
Nous avons trouvés l'ambiance des geôles des prisonniers de guerres particulièrement sordide. Les bruitage nous permettaient de nous imprégner de l'atmosphère de l'époque, cependant les poux, les rats et la vermine n'étaient pas représentés...Burk!

Après avoir visité ce château durant 2 heures, nous somme partis nous restaurer, au bout d'une longue discussion mouvementé ne sachant pas dans quel restaurant manger.     

Restauration rapide pour tous, un après-midi de shopping nous attend dans une des plus belle ville d'Écosse!!! Le soleil est même au rendez-vous malgré ses rayons toujours obliques et la nuit qui arrive dès 16 heures, c'est bien dommage...
Profitons en, car demain à la même heure nous serons à l'aéroport... la fin du voyage s'annonce.

L'ambiance dans les magasins est très « scottish »: cornemuse, kilt, cachemire, photos d' Highlands,... j'en passe et des meilleurs!
Les filles (Rachel et Gwenaëlle) ont comme à leurs habitudes fait une centaine de magasins pour n'acheter en finale qu'une seule paire de chaussures, après avoir usé tous les vendeurs.
Les profs, sont plus d'humeur à découvrir la ville pour essayer de se cultiver, nous ayant abandonnés depuis longtemps...

Après une journée épuisante, nous sommes de retour dans notre auberge de jeunesse, pour préparer notre repas de ce soir et nos sandwichs pour demains avant de se préparer pour sortir pour une dernière fois dans les pubs d'Écosse.




En espérant vous avoir fait partagé de bon moment à travers ce blog, ses photos et ses vidéos. A bientôt pour un nouveau périple...  



Vincent Drogue et Adrien Ravanat









8 ème jour, le 13 janvier 2011

8 h30! Il est l'heure de se lever car un petit déjeuner de "caillons" nous attend. Si on vous dit bacon,boudin,oeufs brouillés,tomates, champignons, galette de pomme de terre et on en passe....Alors vous avez faim? Dommage pour vous, il est l'heure d'aller en cours!!!!! mdr...
La fin de notre festin fut terminé à 9h15 et les bagages furent chargés dans la Dyane à 9h30.



Et c'est partie pour une nouvelle journée qui promet d'être riche en émotions (vu nos pilotes de formule 1!). On a commencé par la visite de la ferme de notre hôte, Monsieur et Madame Kirk. Leur exploitation, de petite taille pour l'Ecosse, est constituée de 150 brebis et 28 vaches allaitantes de race Galloway. Elle se répartie sur deux sites différents (sa femme est propriétaire d'un site et lui de l'autre). En complément, tout le monde l'a compris ils réalisent de l'agritourisme: gite, table et chambres d'hôtes "so scotish".



Son épouse a également 4 chevaux avec lesquels elle participe a des concours de calèche. À midi Monsieur et madame Kirk nous ont offert une soupe et préparé des sandwiches pour manger dans la voiture (fromage et confiture). Il était pour nous l'heure de partir en direction sud à la frontière avec l'Angleterre, pour assister en "live" à la vente aux enchères de bestiaux qui nous attendait pour 13 heures. Mais malgrè la barrière de la langue, Monsieur et Madame Kirk nous on fait ressentir leur amour, leur passion pour les animaux et le plaisir des concours avec leurs "Galloway".



Il est 13h30 et nous sommes arrivés au marché aux enchères.Certes, nous vous avions annoncé auparavant notre arrivée pour 13h00 mais quelques petits désagréments comme un court séjour en Angleterre pour les perdus de la voiture de Madame Poitvin (Francis, Gwenaelle, Bruno, Rachel et Jérémy). Dés notre arrivée nous nous sommes immédiatement dirigés vers les enchères des bovins qui avaient commencées à 13h00, ceci était très impressionant car les enchères sont très rapides (le prix était au rythme d'une bête par minute) ensuite nous avons assisté à celles des moutons. Celle-ci est encore plus impressionnante, elle dure la journée complète, ce jour la vente a concernée 11 000 agneaux.
Au contraire des bovins dont on fixe par animal le prix au Kg, les ovins sont vendus en lot et le prix à l'agneau vaut pour l'ensemble du lot.




Il y a 850 000 têtes vendues par an sur ce marché, les moutons représentent les ¾ des ventes. Avant notre départ (à 17h), nous sommes allés boire un café offert par son directeur grâce à notre négociante Madame Poitevin!! Puis nous sommes partis pour 2H00 de route pour rejoindre Edinburgh; au programme un trottoir pour Madame Bouchard, un freinage inattendu pour Madame Ariso et Madame Poitevin, qui progresse, n'a effectué aujourd'hui que trois rétrogradations en pleine autoroute (5ème > 3 ème, dur le levier de vitesses à gauche mais va-t-on arriver à l'aéroport avec une boîte entière? ). On passe les oublis de feux en pleine nuits, les accélérations à 6000 tours minutes et les pauses pipi inattendues: Ah! ce qu'on les aime nos chauffeurs!!!... Arrivé à Edinbruch nous sommes allés faire des courses pour notre repas de ce soir qui fut délicieux. Merci Adrien pour ton poulet au curry + riz!!!!...
Et notre soirée s'achève donc en beauté par une petite sortie dans la ville, d'ailleurs nous devons vous laisser car le devoir nous appelle!! Milles bises à tous...


Rach & Merlo (les deux beaux gosses)

7 éme jour : mercredi 12 janvier 2010



Après avoir pris un petit déjeuner, nous avons pris la route en direction du Barony College où nous avions rendez vous à 10 heures. Une fois arrivés sur les lieux nous avons pu rencontrer une classe de « bac pro » écossais. Chacun a dû présenter la personne en face d'elle (l'anglais fut obligatoire car les écossais apprennent aucune langue étrangère!).


Ensuite les élèves, nous ont fait visiter la ferme du Barony College en petits groupes de 2 français et 2 écossais:
  •  280 vaches laitières prim holstein et quelques red holtein (importées du Danemark pour la richesse de son lait) divisées en 2 troupeaux : d'un coté un troupeau de 230 vaches laitières avec une salle de traite de 2x12 postes en épi avec une moyenne par vache de 7000 l, puis un deuxième troupeau de 50 vaches laitières traitent au robot avec un moyenne par vache de 10 000 l (les plus productives)
  • 300 brebis (Grey Face principalement) dont une partie des agneaux sont exportés vers la France
  • 60 biches et cerfs : surtout pour l'image du lycée
  • 30 vaches allaitantes Aberdeen Angus
  • 1 atelier de pisciculture (truites) : elles sont principalement vendues à des restaurateurs et à des société de pêche.

A midi, nous sommes allés manger dans leur self. Vivement que ce soit pareil en France. Nous avons pu choisir tous nos plats. Un distributeur de boissons, nous tendait les bras ainsi qu'un panier rempli de confiseries (snikers et autres barres chocolatées). Le thé et le café nous ont été offerts.

L'après midi, nous avons continué la visite qui s'est suivie une mise en commun en salle de nos impression: les exploitations écossaises sont importantes et cela nous impressionne mais elles sont aussi très endettées, les jeunes semblent connaître plus de difficultés que nous pour reprendre les affaires familiales et il n'existe pas d'installations hors cadre familial.
Mme Bouchard avait la langue bien pendue et nous étions plus intéressés par la salle de traite qui s'est mise en route que par le calcul de l'EBE d'une exploitation de 60 VL.

Après cette journée bien remplie, les garçons avaient bien besoin de se défouler par un match de foot en salle entre les élèves français et les élèves écossais. Nos petits Frenchies ont brillé, bravo à Dimitri, Dadou, Francis, Jeremy et j'espère que je n' oublie personne. Baron a même réussi à faire un trou dans le plafond.

En soirée, nous sommes allés dans un « Bed and Breakfast » ou des hôtes charmants, M et Mme Kirk et leurs amis nous attendaient: rigolades et détente étaient au rendez-vous.


Au menu, spécialités écossaises et produits de la ferme:
En entrée : Purée de rutabagas, Purée de pommes de terre et « haggies »(panse de brebis farcie)
En plat chaud : Bœuf aux carottes, petits pois et brocolis
En dessert : multiples gâteaux
Et surprise, le plateau de fromages après le dessert par contre contrairement aux avis reçus, les produits étaient succulents.
Gwenaëlle a eu le droit à son gâteau d'anniversaire pour fêter ses 20 ans!...


Gwenichou et Bibi phoque

Jour 6 : Mardi 11 Janvier 2011





Lever à 7 h00 soit une petite grasse matinée, 4 h00 plus tard nous sommes arrivés au lieu de la visite chez Mr Andrew GRANT.


Mr GRANT exploite 700 hectares cela constitue tout de même une grande exploitation pour l'Écosse qui comprend une surface de prairies de 360 ha, de bois de 180 ha, de céréales de 160 ha. La rotation avec les céréales est la suivante: 5 ans de prairies - orge - avoine.
L'exploitation a en propriété tous ses terrains et ils proviennent de deux grandes familles historiques écossaises, les célèbres « clans ».


Il y a 3,5 UTH sur l'exploitation.
Mr GRANT a décidé une conversion au BIO il y a 4 ans ayant pour avantage de ne pas utiliser d'engrais et de fertilisation sauf la chaux, la potasse et le phosphate.
L'altitude de l'exploitation se situe entre 150 et 275 m.
Le cheptel est composé de 1800 brebis, 70 vaches allaitantes dont 16 génisses (race Aberdeen Angus)
Pour les brebis, il y a trois races différentes qui sont :
- le Suffolk dont l'agnelage est en Janvier.
  • le Sulfock C roisé avec des Black Face dont l'agnelage est en fin Mars
  • le Grey Face qui est issu d'un croisement de Blue Face Leicester.( prolificité de plus 2,6 agneaux/ mère et une bonne production de lait). Le Black Face qui apporte sa rusticité.
La ferme a un taux d'agneaux viables moyen de 1,7 agneaux par brebis, ce qui semble exceptionnel. Il y a tout de même une différence entre le nombre d'agneaux recensés à l'échographie et la production d'agneaux finale qui se traduit par une perte totale de 22 % par an: les brebis et agneaux vivent dehors en permanence sauf durant les heures qui précèdent ou suivent l'agnelage.
Le début des ventes d'agneaux se fait entre le 9 juillet pour la race Suffolk et le 7 décembre pour le Suffolk croisés.



Les agneaux en moyenne font un poids d'environ 19,16 kg et sont vendus à un prix de 3,57 livres par kg de carcasse soit un prix moyen par agneau de 68,40 livres (87,55 €)
Les agneaux sont vendus dans une coopérative pour la vente au Pays de Galles ou pour le Sud de l'Écosse, elle commercialise 120 000 agneaux par an pour un total de 600 fermiers.
Les vaches allaitantes ont une ration qui se composent en plus de l'herbe de fèverole, d'avoine, d'orge et de paille. Il y aussi des bœufs qui sont vendus dans la même coopérative que celle des agneaux.


L'exploitation encaisse des primes qui sont les mêmes qu'en France, sorte de DPU qui s'appelle chez eux, les « Single Farm Paiement ».
Ils s'élèvent à 148 000 € brut pour son exploitation et à 125000 € après la modulation dont le mécanisme est extrêmement complexe.

La tour de M. GRANT
 
A midi, nous sommes allés manger avec M. PARK et M. GRANT dans un très joli restaurant au bord d'un terrain de golf à 5 minutes de l'exploitation GRANT. Pendant le repas nous avons fini d'échanger et de prendre des informations sur nos deux agriculteurs très intéressants et attentifs. Le menu du jour, pour certains Lasagnes, d'autre Haddocks, l'ensemble accompagné de frites avec une boisson au choix. Tout le monde a trouvé la cuisine très bonne et n'avait plus faim. Après les « au revoir » et les remerciements pour Mr GRANT, nous sommes partis visiter l'exploitation de Mr PARK, 10 km au sud.


Mr PARK possède une exploitation de 320 ha, principalement des prairies. Il a 4 troupeaux de brebis comprenant145 Texels, 80 Suffolks, 750 Black Face et une quinzaine de Blue Face Leicester. En deuxième production, il a 75 vaches allaitantes croisées (Limousine, Salers, Simental, Aberdeen Angus…).
L'agriculteur travaille avec son fils, leurs objectifs est de travailler la génétique avec l'objectif de produire des reproducteurs, environ 100 bélier par an sont commercialisés en Ecosse et en Europe entre 2000 et 7000 livres.


L'exploitation se situe dans le top 1 du Royaume-Uni en génétique, les bâtiments et le matériel sont truffés d'astuces inventées par Mr PARK.



Auges basculantes rechargeables depuis l'extérieur pour une alimentation à l'intérieur ou à l'extérieur
Ensuite nous sommes rentrés tranquillement à l'auberge avec une route toujours aussi verglacée et dangereuse, mais après un long moment de route et un arrêt au supermarché pour pouvoir faire la purée et les saucisses, nous sommes arrivées saints et saufs pour passer une bonne soirée.


Bruno Marchand et Pierre Chauffray

jeudi 13 janvier 2011

Jour 5



Levés 5 h pour prendre le Ferrie et repartir sur la Grande Bretagne. Le voyage est vraiment rude cette fois, il y a des vagues et le repas ne passe pas. 10 h nous arrivons enfin a bon port, reprise des hostilités, nous sommes de retour sur la route pour de nouveaux évènements … en sortant de la ville portuaire nous apercevons une station essence toutes les voiture sont à moitié plein sauf la dernière celle de miss Poitevin. Au beau milieu de nulle part tout prés des Highlands le témoin d'essence s'allume. Le tableau de bord affiche 25 miles restantes. La question posée est soit de faire demi-tour ou soit de continuer ? Un vieux écossais nous répond que la prochaine ville et à 17 miles mais qu'il ne ferait pas confiance à la technologie. Le calcul est vite fait on a de grande de chance de joindre la prochaine ville et de gagné une demi heure on tente donc le tout pour le tout. Dans la voiture la pression monte, la jauge descend de plus en plus et aucune ville a l'horizon. Quand soudain, à la sortie d'un virage Inveraray s'offrait à nous. Soulagement général nous pûmes faire le plein.

Inveraray PART II

Petite halte dans un pub où un petit café s'imposait pour se réveiller de nouveau. Puis direction la plus grande ville d'Écosse Glasgow.


GLASGOWWWWW


Après une petite pose petit sandwich prés du grand Loch Lomond. Pour atteindre le centre ville nous nous garons près de l'université. Very nice car il y a beaucoup de jeunes et surtout de jolies écossaises contrairement à la rumeur elles ne sont pas toutes rousses avec de grandes dents. Puis nous prenons le métro local « Clockwise Orange » traduit littéralement orange mécanique en hommage au film du même nom. Quartier libre pour faire du shopping et ramener des souvenirs visite et shooting sur la place centrale en bon « Japanese Tourist » bien sur. Une fois tous regroupés, quelques courses s'imposent pour pouvoir prendre le petit déjeuner le lendemain matin. Courses terminées nous prenons le chemin du retour ainsi que notre fameux métro ( un peu de plus on en laissait 5 au mauvais arrêt ) manque de chance tout le monde est remonté à temps. 


Go into the hostel !

Les routes anglaises ne réussissent pas à nos profs ! A peine, sortit de la ville de Glasgow, Mme Ariso manque la bretelle de l'autoroute. Heureusement que le téléphone portable du lycée est la pour assurer les communications entre nous. Après avoir retrouver la dream team au complet nous partons les yeux fermés en suivant le GPS de monsieur Couvez. Une heure plus tard l'auberge se trouve a quelques kilomètres selon les indications de la technologie moderne : « 
Gps :   tournez a droite !
Un élève : it's funny because on right this is SANS ISSUE
Madame Bouchard : GO GO GO on suis le Gps ! »
200 yards plus loin c'est le drame, une route avec un fort dénivelé, non goudronnée et enneigée nous empêche de revenir sur nos pas ! Cependant le Gps indique toujours le même chemin. Nous nous enfonçâmes à corps perdus dans cette forêt débordante de fossé, de neige et d'ornières. Tout le monde a peur de rester coincés dans la forêt, au pays des châteaux hantés ça sent le film d'horreur à plein nez !!! Les voitures glisse dans une ornières et dessous sa touche, le carter en prend pour sont grade.
Malgré un énorme cailloux qu'il a fallut déplacé à 4 ou 5 gaillards nous sommes enfin arrivés à destination.
Décidément le sort s'acharne sur nous mais rien ne peut nous arrêter avec une telle détermination.

Reporters d'un jour
Francis Badin et Alexandre Berruyer

mercredi 12 janvier 2011

Jour 4 : Dimanche 9 janvier 2011



Bonne « grasse mat. », lever huit heures (toujours les mêmes en retard!) ensuite nous avons préparé les sandwichs pour le midi.


A neuf heures, départ de Port Charlotte, pour la visite de la ferme de Mr FINDLAY à Port Helen, nous avons débuté les présentations par 6 exploitations où nous sommes apprentis : Alexandre, Pierre, Jordan, Gwennaelle, Jérémy, Raphael.
Mr FINDLAY travaille 270 ha (100% prairies) avec seulement 50 ha labourables. Le cheptel est composé de 90 vaches allaitantes croisées (Aberdeen Angus, Simmental et Limousines) et trois taureaux (2Limousins et Simmental). Il est étonnant de trouver uniquement des vaches croisées, on utilise une race pour ses atouts en réalisant des croisements : par exemple un taureau Simmental permet d’avoir des génisses de renouvellement laitières tout en gardant des aptitudes à la viande avec du sang Limousin. Sur 85 veaux sevrés (les vêlages ont lieu dans le bâtiment au printemps), 75 sont destinés à la vente et 10 au renouvellement. En complément, il conduit un troupeau ovin de 524 White Face en plein air intégral avec 124 antenaises qui agnèlent dès 18 mois. Le troupeau produit 700 agneaux mais perd  25% de ses effectifs face à la dureté des conditions climatiques. La production est lente, les sevrages sont tardifs à 5 mois.
Nous sommes ensuite allés sur une colline d’où nous avons pu voir les terres de l’exploitant, une montée périlleuse pour certaines personnes et de belles chutes pour d’autres dont Mme BOUCHARD, David et…



Retour à l’Auberge de jeunesse à 15h, une cuisse de poulet a comblé  notre famine, dispersion du « cheptel » pour visiter les alentours de Port Charlotte, un groupe dans la forêt, un autre au phare alors que d’autres ont préféré faire la sieste.



Retour du « bétail » à 19h pour enfin avoir un repas chaud depuis le matin !
L’aubergiste du village nous a fait un très bon prix pour des menus au saumon ou à l’agneau, qui peut encore dire que la cuisine écossaisse n’est pas succulente et les écossais des gens super accueillants? Des desserts sympas avec des parfums surprenants, originaux et délicieux. Le patron du restaurant a même invité ses amis musiciens pour lancé quelques petits airs locaux et nous avons montré notre talent avec la Marseillaise!!


Jordan Gouillard et Dimitri Ballerand